L’époque valorise la participation et le pouvoir d’agir des personnes. Rien d’étonnant, donc, à ce que les groupes d’entraide mutuelle (GEM), qui s’appuient sur ces principes depuis leur création en 2005, suscitent l’intérêt. Leur évolution est regardée avec d’autant plus d’attention qu’ils inventent un modèle singulier d’organisation et d’accompagnement impliquant les personnes, qui pourrait inspirer plus largement le secteur social et médico-social. Une évaluation nationale, réalisée par l’Association nationale des centres régionaux d’études, d’actions et d’informations en faveur des personnes en situation de vulnérabilité (Ancreai)(1), devrait d’ailleurs être présentée à la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA) et à la direction générale de la
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