François Soulage le dit avec une certaine gourmandise : « Ce qui m’intéresse, c’est faire de la politique. » Avant de préciser aussitôt : « Dans le sens où faire bouger les personnalités politiques en faveur des plus précaires, c’est faire de la politique. » Cet homme accessible, d’un abord simple, tutoie plusieurs ministres – « la moitié du gouvernement », sourit-il –, dont celle des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine. Cette familiarité avec le pouvoir et son parcours professionnel et associatif foisonnant à mi-chemin entre l’économique et le social expliquent sans doute qu’il se soit vu confier le suivi du plan d’action en faveur du travail social et du développement social – il devrait remettre le premier rapport d’évaluation le mois prochai
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