« Dans l’ancien bâtiment, il n’y avait pas assez de signalétique, les visiteurs ne s’y retrouvaient pas », se souvient Aude Pajot, directrice du Val d’Emilie, à Derval (Loire-Atlantique). Dans le cadre de la construction de ce nouvel EHPAD public, elle savait donc ce qu’elle voulait : « Une signalétique claire mais aussi personnalisée, qui donne une âme à l’établissement. » Même constat pour Alain Lambert, directeur du Centre Gallieni, à Villeurbanne (Rhône) : « Notre foyer d’hébergement avait une signalétique dépareillée, pas fonctionnelle et en partie fausse. La rénovation de la structure était l’occasion de l’homogénéiser et de la moderniser. »
« La signalétique, c’est un métier, et beaucoup de directeurs s’en rendent compte trop tard, constate Anne Gerveau, directrice de Nuancier d’images, qui s’autoproclame « cré
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