Ces dernières années, colloques, journées d’études, films ou documentaires se sont multipliés autour de la vie affective et sexuelle des personnes en situation de handicap. « Ce n’est plus un sujet que l’on peut mettre de côté », se félicite Jean-Luc Letellier, président et fondateur du Centre de recherches et d’études pour le droit et l’accessibilité à la vie sexuelle dans le secteur médico-social (CRéDAVIS), qui a formé près d’un millier de professionnels depuis sa création en 2012(1). Néanmoins, cette libération de la parole ne se traduit pas nécessairement en actes. « On assiste à de très fortes disparités. Si des établissements ont pris des initiatives très concrètes, d’autres en restent au stade des bonnes intentions, ce
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