Définir des modalités d’allocation de ressources plus simples, plus équitables et qui facilitent les parcours des personnes en situation de handicap : c’est l’ambition de la réforme de la tarification des établissements et services médico-sociaux (ESMS) pour personnes handicapées, également baptisée « projet Serafin-PH ». Avec, pour principe directeur, la possibilité de moduler les financements à destination des ESMS puisque les besoins, et donc les prestations, ne sont pas les mêmes selon les personnes accompagnées.
Serafin-PH se décline en trois phases, a rappelé Annick Deveau, directrice du projet au sein de la direction générale de la cohésion sociale (DGCS), qui porte la réforme en collaboration avec la caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA), lors d’une journée consacrée à cette réforme, organisée le 27 septembre par le Cedias-CREAI Il
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