Afin de faciliter l’accès aux droits des personnes en situation de précarité, le gouvernement souhaitait expérimenter un coffre-fort numérique leur permettant, ainsi qu’aux travailleurs sociaux qui les accompagnent, d’avoir accès aux pièces justificatives authentiques qui peuvent être demandées par les administrations. C’est enfin le cas depuis cet été, a indiqué le secrétariat d’Etat chargé de la lutte contre l’exclusion aux ASH.
Pilotée par la direction générale de la cohésion sociale (DGCS) et l’Union nationale des centres communaux et intercommunaux d’action sociale (Unccas), l’expérimentation du coffre-fort numérique est ainsi menée dans 16 centres communaux et intercommunaux d’action sociale (CCAS/CIAS)(1), avec cinq offreurs de solutions publics ou privés, comme La Poste ou encore des start-up, ont précisé les services de Ségolène Neuville. Au final, « chaque solution sera expérimentée sur trois territoires », ont-ils souligné, rappelant que ces solutions étaient soumises au respect de trois critères : la possibilité de stocker et de partager des données, la gratuité de l’outil et la sécurisation des données. En p
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