« Trois ou quatre enfants à la maison ? Cela ne change pas grand-chose et nous sommes ravis d’accueillir Boubacar… », assure Hélène Koplewicz. Cette enseignante et mère de trois enfants (de 7 à 13 ans) fait partie des premières familles de Loire-Atlantique à accueillir bénévolement un mineur isolé étranger (MIE) à son domicile. Cette expérience, inédite pour un département, en est encore à ses balbutiements, avec une dizaine de familles volontaires(1). Mais elle s’inscrit dans un mouvement plus large d’expériences faisant appel à l’engagement des citoyens en faveur des plus fragiles. « Nos dispositifs ne sont pas adaptés ou pas suffisants pour faire face à l’afflux de plus en plus important de mineurs non accompagnés, justifie
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