« Engager une réflexion structurelle sur l’organisation de l’aide alimentaire afin de garantir l’efficacité de celle-ci, notamment dans l’objectif de fluidifier les parcours sociaux. » Telle était l’une des recommandations du premier rapport d’évaluation du plan pluriannuel de lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale, remis par François Chérèque et Simon Vanackere, membres de l’inspection générale des affaires sociales, en janvier 2014. Quelques mois plus tard, la commission « lutte contre la pauvreté et l’exclusion » de l’Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux (Uniopss) s’est emparée du sujet en créant un groupe de travail, qui a abouti à un document de propositions du collectif Alerte(1).
Pour la Fédération française des banques alimentaires, cette réflexio
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