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Dans certains établissements, il arrive que la mort survienne. Le sujet, pourtant, reste souvent tabou parmi les équipes. Des procédures claires et des formations peuvent aider à aborder la question.

« Ne sais-tu pas que la source de toutes les misères de l’Homme, ce n’est pas la mort, mais la crainte de la mort ? » En 2010, Laurent Decrop inscrivait cette citation du philosophe Epictète en exergue de son mémoire « L’accompagnement de la fin de vie des personnes handicapées mentales » à l’EHESP. Aujourd’hui directeur d’un service de soins de suite et de réadaptation et d’un ESAT à Bagnols-sur-Cèze (Gard), Laurent Decrop dirigeait alors un FAM. Son intérêt pour le sujet venait d’un constat : le projet d’établissement ne faisait aucune mention de la fin de vie. « La gravité des pathologies accueillies aurait pourtant dû amener ses rédacteurs à la mentionner, d’autant que, en l’espace de trois ans, une dizaine de décès étaient survenus dans la structure, fait-il valoir. Ces documents et l’association elle-même étaient assez représentatifs de notre société, de son rapport à la mort. L

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