« Au centre de détention de Caen où j’étais sous-directeur, un vieux détenu épouvantable avait apprivoisé un petit oiseau dans sa cellule. Il y était très attaché. A tel point que, lors d’une extraction pour le tribunal, on l’a sorti avec l’oiseau. Personne ne se serait avisé de ne pas le faire : cet animal faisait tout l’équilibre de cet homme », se souvient Yves Lechevallier, aujourd’hui directeur interrégional des services pénitentiaires du Grand Ouest. De son côté, Sandrine Willems, psychologue et enseignante du DU d’anthropozoologie à l’université Paris-13, rappelle qu’un chaton s’était immiscé dans la cellule de Nathalie Ménigon, membre d’Action directe condamnée
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