« Un point de l’article m’a fait sursauter, l’amalgame fait entre dépistage précoce de la surdité, d’une part, et “sonorisation du malade” avec “disqualification” de la langue des signes française (LSF), d’autre part. Cet amalgame est désormais courant dans le cercle de la surdité, je le constate : il faut s’affirmer pour ou contre l’implant cochléaire et donc pour ou contre la LSF. Cela frôle à mon sens la radicalisation, voire l’intégrisme… et je pèse mes mots ! L’absurdité de cet amalgame n’a d’égal, pour moi, que celui du Congrès de Milan qui, en 1880, a interdit l’usage de la langue des signes dans l’enseignement, la “mé
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