Quel accompagnement pour les adultes handicapés psychiques ? C’est à cette question que tente de répondre l’Agence nationale de l’évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux (ANESM) dans des recommandations de bonnes pratiques qu’elle vient de publier(1). Ces recommandations sont censées accompagner les « profondes transformations » engendrées par la loi « handicap » du 11 février 2005, « qui “reconnaît” le handicap psychique et a impulsé le développement ou la création de nouveaux dispositifs d’accompagnement dans le champ social et médico-social », tandis que, en parallèle, se développent « des dispositifs créés et animés par les usagers, les groupes d’entraide mutuelle », explique l’agence. Elles ont pour objet d’identifier « les pratiques professionnelles qui concourent à une prise en compte des attentes et besoins spécifiques des adultes handicapés psychiques, qu’ils vivent dans un logement individuel ou un habitat collectif ».
Sont concernées « les personnes handicapées en raison des conséquences de la schizophrénie ou des troubles affectifs b
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