« Ne reste pas devant, il ne s’agit pas d’un treuil. Tu dois te positionner à côté de l’usager et le rassurer », prévient Nathalie Bombeau. La formatrice est en train d’expliquer à Frédéric Brebis, auxiliaire de vie sociale, comment utiliser la sangle lève-malade pour extraire une personne handicapée de son lit ou la relever après une chute. Un autre professionnel en formation, Pierre-Aubin Mezie, joue le rôle de l’usager. Impressionnés par la manœuvre, dix stagiaires observent la scène avec attention, dans cet espace – sorte d’appartement témoin – équipé de lits médicalisés ou non, d’un coin repas, d’une cuisine, d’une salle de bains, d’un salon. Loin d’être majoritaires dans cet univers professionnel largement féminisé, les deux hommes (sur 12 stagiaires) se montrent parmi les plus volontaires pour tester les équipements et les gestes de p
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