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« On devrait pouvoir s’adapter à toutes les pathologies »

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Catherine Feldman, médecin généraliste et addictologue, est coordinatrice médicale à l’Arapej 92 (Association réflexion action prison et justice des Hauts-de-Seine), qui dispose de 25 places en appartements de coordination thérapeutique (ACT), dont certaines réservées à des personnes sortant de prison ou placées sous main de justice.
Quels sont vos critères d’admission en appartement de coordination thérapeutique ?

Nous recevons des demandes nombreuses : 303 en 2015 où, année faste, nous avons accueilli cinq nouveaux usagers(1) ! Elles émanent surtout des assistantes sociales hospitalières qui ne savent plus où orienter ces malades chroniques graves, sans ressources économiques et familiales. Le choix auquel nous devons procéder est extrêmement difficile et douloureux. Un « tri » à la croisée des chemins médical et social, établi sur dossiers, mais aussi étayé par des entretiens menés avec les médecins que les patients ont vus. Si la personne a un handicap sévère et, de fait, un manque d’autonomie physique ou psychique trop important, elle ne sera pas capable de vivre seule dans un appartement. Enfin, si elle es

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