Ils ont en moyenne entre 20 et 55 ans, souffrent d’une pathologie chronique invalidante – VIH, cancer, maladies cardio-vasculaires, diabète, hépatites B et C, insuffisance rénale, maladies neurologiques, voire polypathologies… – accompagnée souvent de troubles psychiatriques et/ou d’addictions. Ils sont migrants sans papiers, expulsés de leur logement, seuls à la rue avec leur enfant, sortants de prison, sans couverture sociale ni suivi médical régulier. Ces publics peuvent être hébergés, à titre temporaire, dans l’une des 2 000 places d’appartements de coordination thérapeutique (ACT), gérés par une centaine d’associations (dont la moitié en Ile-de-France), pour y recevoir des soins, un accompagnement psychologique et une aide à l’insertion.
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