L’adoption définitive, le 1er mars, de la proposition de loi relative à la protection de l’enfant(1), portée par la sénatrice Michelle Meunier (PS) et l’ex-sénatrice Muguette Dini (UDI), est susceptible de donner tout son sens à la prise en compte de l’intérêt de l’enfant, se félicitent plusieurs réseaux associatifs de protection de l’enfance. Même si le parcours laborieux du texte, qui avait été déposé au Parlement en septembre 2014, en dit long sur les crispations qui ont opposé les deux chambres. Sujet de discorde notamment : la création du Conseil national de la protection de l’enfance, perçue par les sénateurs comme une reprise en main par l’Etat d’une compétence départementale.
La sécurisation du parcours de l’enfant, le renforcement des coopérations et du pilotag
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