Entre 2011 et 2013, j’étais étudiant-chercheur au sein de l’université de Harvard. L’un de mes professeurs travaillait pour l’administration Obama sur la question du financement de l’action sociale aux Etats-Unis. J’ai collaboré avec lui sur certains programmes et, très vite, je me suis intéressé à cette question : pourquoi les Social Impact Bonds (SIB), qui se développaient dans l’univers anglo-saxon, n’émergeaient pas dans les pays européens sociaux-démocrates, qui ont pourtant une tradition d’innovation en matière sociale ? Cela m’a amené à réfléchir à la façon d’adapter ce mécanisme aux pays européens.
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