Une nouvelle loi ne suffira pas à améliorer le dispositif de protection de l’enfance si l’on n’opère pas des changements majeurs dans sa gouvernance, observent deux responsables du secteur. Jean-Paul Bichwiller, vice-président de l’Association nationale des directeurs de l’enfance et de la famille (ANDEF), invite ainsi à sortir de l’obsession organisationnelle qui s’est substituée à l’expertise et à la réflexion, tandis que Stéphane Durin, directeur associé du cabinet ENEIS Conseil, appelle à asseoir les décisions sur un système d’informations ancré dans la conception et l’évaluation partagées des réponses.
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