Dans plusieurs départements – la Drôme, les Yvelines, l’Isère… –, des collectifs tirent depuis plusieurs mois la sonnette d’alarme : la prévention spécialisée, victime des contraintes budgétaires des conseils départementaux et de la réorganisation des priorités dans les politiques de prévention, est en péril. Après, au niveau national, les CEMEA (Centres d’entrainement aux méthodes d’éducation active) et le Collectif des associations citoyennes, c’est au tour du Comité national de liaison des acteurs de la prévention spécialisée (CNLAPS) de rendre publique sa vive inquiétude : alors que les éducateurs de rue, poussés sous les feux des projecteurs par les phénomènes de radicalisation violente, constituent un maillon reconnu de la prévention de la désocialisation et du maintien du lien social, « toute la profession attend que
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