« Un enfant qui ne va pas bien aura plus de mal à renouer avec l’apprentissage, rentrer dans une dynamique de projet et entamer un processus d’insertion. La mission éducative est facilitée par la prise en compte des problèmes sanitaires et du bien-être global », explique Françoise Marchand-Buttin. Ce constat est le point de départ du programme « PJJ promotrice de santé » que ce médecin de santé publique à la direction de la protection judiciaire de la jeunesse (DPJJ) porte depuis son lancement en février 2013. Planifiée pour le moment jusqu’en 2016, la démarche fait le pari que « s’occuper de la santé et du bien-être contribue à la réussite de l’action d’éducation »(1).
Les éducateurs de la PJJ sont de longue date un maillon
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?