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Travail social, faits religieux et radicalisations

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Après les attentats du 13 novembre, Daniel Verba, enseignant à Paris-13 et chercheur à l’IRIS (Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux contemporains), considère que les travailleurs sociaux n’ont pas à devenir les auxiliaires des politiques de répression de la radicalisation, ce qui irait à l’encontre de leur mission de protection des personnes accompagnées. La dérive sectaire d’une fraction très minoritaire de jeunes relève avant tout de politiques publiques et de rapports sociaux qui ont fait le lit des crispations identitaires, estime-t-il(1).

« Comme chaque fois qu’il se produit un événement dramatique dans notre pays, les différentes autorités relayées par les médias vont demander des comptes ; et comme chaque fois que l’on touche à la sécurité des biens et des personnes, l’ensemble des institutions publiques vont être interpellées : qu’avez-vous fait pour éviter cela ? En tant qu’acteurs majeurs des politiques sociales et en première ligne lorsqu’il s’agit de traiter les questions de désaffiliations, les travailleurs sociaux, et notamment les éd

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