Historiquement, le baccalauréat professionnel résulte de la conjonction d’une volonté politique d’augmenter le nombre de bacheliers et de la conviction du patronat, en particulier dans l’industrie, que l’on allait assister à un accroissement du niveau de qualification des opérateurs. De nombreux secteurs d’activité, au premier rang desquels la métallurgie et l’électronique-électrotechnique, se sont donc engouffrés dans le nouveau système. Seuls le bâtiment et l’hôtellerie-restauration, traditionnellement marqués par un fort poids du CAP et de l’apprentissage, sont restés en retrait. Puis on a vu apparaître des bacs pro tertiaires, par exemple le secrétariat, qui n’étaient pas po
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