Le service social du travail, telle une vigie, « perçoit les mutations à l’œuvre » pour la profession d’assistant de service social – « notion de justification, accélération de la temporalité, concurrence de métiers… » –, a souligné Anne-Brigitte Cosson, présidente de l’Association nationale des assistants de service social (ANAS) devant quelque 350 assistants sociaux du travail et conseillers du travail, principalement des femmes, lors de la clôture des journées d’études consacrées à leur métier, les 5 et 6 novembre à Paris. Un constat qui invite ces professionnels à faire « reconnaître leur rôle dans l’accompagnement des salariés et de donneurs d’alerte, dans l’entreprise et au sein de la société », à affirmer leur identité, en particulier leur éthique professionnelle, à valoriser leurs outils et initiatives, ainsi qu’à « réinvestir les
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