Plus de deux ans après la mise en route des « états généraux du travail social », le gouvernement a finalement choisi de présenter, le 21 octobre, son plan d’action interministériel « en faveur du travail social et du développement social »(1) en conseil des ministres. Un signe politique fort en soi, argue-t-on au ministère des Affaires sociales, même si l’absence d’événement conclusif a suscité quelques déceptions, voire a entraîné une moindre visibilité de l’aboutissement de la démarche. Reste que ce qui s’apparente à une feuille de route du travail social pour les cinq ans à venir a été – malgré ses imprécisions et un calendrier très étalé – applaudi par une grande partie des acteurs du secteur social. Un satisfecit qui s’explique par ses grandes orientations, reflets des débats qui traversent le secteur de longue
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