Ce devrait être le début d’un processus. Le 16 octobre à Paris, quelque 200 travailleurs sociaux, formateurs et étudiants venus de la région parisienne, du Nord-Pas-de-Calais, des Bouches-du-Rhône, du Rhône ou d’Indre-et-Loire se sont réunis pour lancer les « états généraux alternatifs » du travail social, à l’initiative d’une intersyndicale – la CGT, la FSU, Solidaires, la Fédération autonome de la fonction publique –, du collectif Avenir éducs et de l’Union nationale des étudiants de France (UNEF). Une mobilisation qui s’est construite en réaction au déroulement des « états généraux du travail social » du gouvernement, dont le « plan d’action » a été présenté le 21 octobre en conseil des ministres (voir ce numéro, page 5). Mais, au-delà des propositions qui ont provoqué des contestations depuis plusieurs mois – sur la réforme d
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