« En temps de crise économique et de bouleversement social, il est de bon ton de revendiquer, un peu plus qu’ailleurs dans nos métiers dits « du social », une mission quasi divine de lutte contre le mal. Le mal étant identifié a priori et parfois de manière très simpliste comme le réformisme qui inonde le champ politique, celui que nos dirigeants présentent comme un remède miracle face à l’appauvrissement et à la fragilisation des catégories les plus faibles.
A partir de ce constat, s’opère ce qu’il convient d’appeler un amalgame dans la conscience des travailleurs sociaux. Nous concevons en effet notre rôle, et c’est ce qui a
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?