« Le premier constat est celui d’un glissement des fonctions des équipes soignantes qui interviennent au domicile des personnes souffrant de troubles psychiques. On voit ainsi des infirmiers et des psychiatres s’investir au long cours dans de l’accompagnement quotidien. En oubliant l’existence de nos services d’accompagnement à la vie sociale et de nos services d’accompagnement médico-social pour adultes handicapés. Plus choquant encore par rapport à nos pratiques médico-sociales : certaines de ces équipes soignantes peuvent se rendre au domicile d’un malade à deux ou trois professionnels pour, disent-ils, croiser les regards.
Se rend-on compte à quel point cela est intrusif ? Et réalise-t-on qu’il faut en mo
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