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Accueil des réfugiés : après la mobilisation, le casse-tête de l’hébergement pour tous

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Difficile, après les annonces de Manuel Valls, le 16 septembre, sur les crédits débloqués pour l’accueil des réfugiés et l’hébergement d’urgence (voir ce numéro, page 12), d’y voir clair en termes de capacités nouvelles pour les 30 000 réfugiés que la France a prévu d’accueillir dans le cadre du processus européen de relocalisation, mais aussi pour l’ensemble des populations, migrantes ou non, en attente d’un hébergement sur le territoire.

La décision d’accorder 250 millions d’euros supplémentaires à l’hébergement d’urgence et à la veille sociale (279 millions sont prévus pour l’accueil des réfugiés), dont 130 millions dès le mois d’octobre, est d’abord un signal de la volonté du gouvernement « qu’un public ne chasse pas l’autre », commente Eric Pliez, président du SAMU social de Paris et de la commission « inclusion » du Syndicat des employeurs associatifs de l’action sociale et médico-sociale. Un geste politique important au moment où les travailleurs sociaux se désolaient, cet été encore, de devoir laisser à la rue un appelant au 115 sur deux, et où le risque de concurrence des publics taraude les acteurs

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