« Impulser une mise en réseau des associations pour mettre en place des actions plus coordonnées et plus systématisées en faveur des familles monoparentales, donner une visibilité à ces actions et à ces familles, et mieux répondre à leurs besoins, sur tout le territoire. » Tel est l’objectif poursuivi par la secrétaire d’Etat chargée de la famille et de l’enfance qui a, le 10 septembre, réuni une vingtaine de partenaires(1) autour d’une table ronde sur le thème des familles monoparentales.
Pour Laurence Rossignol, « les aides matérielles, si efficaces soient-elles, ne suffiront pas » pour soutenir les familles monoparentales les plus isolées, c’est-à-dire celles qui cumulent l’absence d’un parent (le plus souvent, le père) et l’absence de solidarité familiale (éloignement géographique, pour raisons professionnelles notamment). Plus précisément, a expliqué son cabinet aux ASH, « elles ne permettront pas de sortir de l’isolement, de créer du lien social, de prévenir les situations d’épuisement ». L’objectif est d’« agir très en amont des situations de rupture » pour éviter que des « années à puiser dans les rése
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