L’heure était encore aux interrogations, le 2 septembre, après l’allocution du Premier ministre déclinant la feuille de route pour la suite des « états généraux du travail social » (voir ce numéro, page 6), devant une assemblée composée de professionnels, de représentants du secteur associatif, des collectivités locales, d’établissements de formation, d’étudiants et d’institutions. Après la remise du rapport de la députée Brigitte Bourguignon(1), Manuel Valls a annoncé un plan d’actions que devront lui remettre à la fin du mois d’octobre la ministre des Affaires sociales et la secrétaire d’Etat chargée de la lutte contre l’exclusion. « Un processus d’écoute » qui a pris du temps, a plusieurs fois insisté Ségolène Neuville pour justifier les rebondissements de calendrier et de méthode, car « la question du travail social n’est pas un
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