Ce taux de 40 % de non-partants est structurel depuis plus de dix ans, même si on note une légère augmentation des départs, notamment via le tourisme non marchand, qui correspond essentiellement aux séjours chez un membre de la famille ou un ami. Si les freins financiers sont les plus prégnants, ils sont loin d’être les seuls. Un récent rapport du ministère du Tourisme sur la lutte contre la fracture touristique(1) a montré ainsi que beaucoup de Français ne partent pas car ils n’ont pas la culture « vacances ». A l’heure de l’économie numérique, ils ont aussi du mal à se repérer dans la jungle de l’offre existante. Par ailleurs, beaucoup ne possèdent pas les codes et les comportements adéquats sur les lieux de vacances. D’où l’intérêt de l’accompagnement proposé avant et pend
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