Un mot aura rarement fait autant consensus que celui d’inclusion. Dans les établissements d’enseignement ordinaires, celle-ci est de plus en plus fréquente, notamment grâce à l’intervention d’auxiliaires de vie scolaire. Mais les temps périscolaires dégagés par la réforme des rythmes du premier degré ne sont pas gérés par l’Education nationale. C’est aux communes qu’il revient de les assumer, soit aussi de prévoir l’accompagnement des enfants qui en ont besoin. De la même manière, l’adaptation des structures de loisirs extrascolaires pour accueillir dans de bonnes conditions les enfants et adolescents handicapés dépend largement de la volonté des collectivités locales et de la mobilisation des caisses d’allocations familiales (CAF). Résultat : faute de moyens suffisants et coordonnés, « les enfants handicapés sont confrontés à des difficul
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