Au quotidien, policiers et gendarmes sont régulièrement confrontés à des situations qui relèvent davantage de problématiques sociales que de sécurité publique. « Ils doivent faire face à des personnes en détresse qui appellent une réponse sociale urgente, mais pour lesquelles ils n’ont pas de solutions adaptées, faute de temps et parce qu’ils n’ont pas les compétences adéquates », explique Pascale Dubois, directrice départementale de la sécurité publique dans le Val-d’Oise et présidente de l’Association nationale d’interventions sociales en commissariat et gendarmerie (ANISCG), qui a la particularité de réunir des intervenants sociaux et des policiers(1). De ce constat est née l’idée d’intégrer des professionnels du secteur social au
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