Si les établissements d’hospitalisation à domicile (HAD) et les services de soins infirmiers à domicile (SSIAD) ont un lieu d’intervention et des objectifs communs, le cloisonnement entre le secteur sanitaire, dont relèvent les premiers, et le secteur médico-social, auquel appartiennent les seconds, reste un frein à la qualité des prises en charge. Pour l’heure en effet, aucun texte juridique n’autorise l’intervention conjointe de ces deux acteurs auprès du patient.
Au moment où les coopérations et la continuité des parcours sont affichées comme des priorités de politique publique, la Fnehad (Fédération nationale des établissements d’hospitalisation à domicile), l’UNA (Union nationale de l’aide, des soins et des services aux domiciles) et l’ADMR (Associations du service à domicile) ont, le 20 mai, à l’occasion
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