Désormais, c’est généralement sous l’étiquette de « surveillant de nuit » qu’on identifie celui qu’on a longtemps appelé, dans les établissements sociaux et médico-sociaux, « veilleur » ou « gardien de nuit ». Ce changement d’appellation correspond à une évolution de la fonction. Au-delà de la surveillance des biens et des personnes, qui reste au cœur de son activité – il met en œuvre les protocoles de sécurité, signale les dysfonctionnements, prévient et gère les incidents, les intrusions ou les fugues –, le surveillant de nuit s’est peu à peu vu adjoindre l’accompagnement des personnes. « La nuit, c’est un temps où les angoisses et les difficultés remontent. Aussi doit-il être capable d’accompagner n’importe quelle demande
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