« Conséquence, entre autres, de la modification des rythmes scolaires et de la raréfaction des moyens, le secteur de l’animation est en train de vivre un retour en arrière. Les municipalités et les associations, gros employeurs d’animateurs, ne montent pas au créneau contre la détérioration de la qualité de l’encadrement, car l’ensemble des mesures tend à diminuer le coût des emplois. mais à quel prix ?
Les 20 à 30 dernières années ont été marquées par une professionnalisation des animateurs et par l’introduction d’une certaine rigueur dans les structures qui les emploient. Oh, bien sûr, nous étions encore loin de statuts approchant ceux des autres travailleurs sociaux, ou même du personnel de la petite enfance !
Perdurent encore des contrats dérogatoires au
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