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Les centres parentaux veulent sortir de l’ombre

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Les centres parentaux, qui accompagnent des familles en situation de vulnérabilité sociale et psychique, sont nés de la volonté d’offrir une place au père de l’enfant né ou à naître, aux côtés de la mère. Réunies au sein d’une fédération, ces structures, souvent expérimentales, souhaiteraient être reconnues par la loi.

Paris, Nantes, Toulon, Saumur, Marseille… La France compterait à ce jour une douzaine de centres parentaux. Ces lieux d’accompagnement des couples vulnérables sur les plans économique, social ou psychique, parents d’un enfant né ou à naître, sont généralement apparus dans le sillage des centres maternels. Ces derniers accueillent exclusivement des femmes enceintes ou des mères avec leurs enfants de moins de 3 ans et laissent les pères à leur porte. « Le duo mère-enfant est extrêmement fusionnel, souligne Brigitte Chatonay, ancienne chef de service d’un centre maternel, qui a fondé le centre parental Aire de famille en 2004. Or, pour se construire, un enfant a besoin de plusieurs points de vue. Le père, pour peu qu’on lui laisse la place, l’occupe et la revendique. » Bien accompagné, le couple o

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