Le premier temps du travail, c’est l’expérience du réel, de ce qui résiste à la maîtrise. On commence donc par échouer, et le travail commence à partir de là. C’est précisément parce que les gens souffrent de cette situation qu’ils mobilisent leur intelligence pour trouver une solution. C’est vrai notamment dans le travail social. Il faut du temps, on échoue, on recommence, et parfois on réussit… S’il y a de la souffrance dans tout travail, ce qui n’est pas déterminé à l’avance, c’est son destin. Dans de nombreuses situations, les gens ne parviennent pas à agir sur ce qui les fait souffrir, comme dans le travail à la chaîne, qui est rép�
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