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« Rencontrer un travailleur social renvoie le squatteur à une position sociale de domination »

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Vivre en squat, c’est autant choisir un mode de vie alternatif que trouver un recours face aux difficultés sociales et économiques. La sociologue Anne Petiau a enquêté avec Lionel Pourtau dans une vingtaine de squats en Ile-de-France, en lien avec la mission « squat » de Médecins du monde. Elle en tire des enseignements pour améliorer le travail social auprès des squatteurs.
Cet ouvrage est le fruit d’une recherche-action menée avec la mission « squat » de Médecins du monde. Quel était son objectif ?

Les principes de la recherche-action consistent à mener une recherche collaborative avec les personnes concernées – en l’occurrence, les intervenants de la mission « squat » de Médecins du monde et, plus partiellement, les squatteurs eux-mêmes. Il s’agissait de mieux comprendre les modalités d’accès aux droits sociaux et de santé des personnes susceptibles d’avoir recours à la mission. Plus globalement, nous souhaitions observer le fonctionnement des squats, les modes de vie et les parcours de ceux qui y vivent.

Dans quel type de squat êtes-vous allés ?

Notre avons enquêté dans une vingtaine de squats en Ile-de

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