Après la déception suscitée par les suites de la concertation menée en 2013 sur la réforme de l’asile, qui a abouti au projet de loi présenté en juillet dernier en conseil des ministres(1), « le Parlement a bien travaillé et s’est emparé des propositions associatives », se félicite Florent Gueguen, directeur général de la Fédération nationale des associations d’accueil et de réinsertion sociale (FNARS). Avant l’examen du texte en séance publique à partir du 9 décembre, la commission des lois de l’Assemblée nationale a adopté un certain nombre d’amendements issus de la gauche et s’inspirant notamment de ceux qui sont présentés par une plateforme collective réunissant Coallia (ex-Aftam), la Cimade, la FNARS, France terre d’asile, Médecins du monde, le centre Primo-Lévi, le Secours catholique, ou encore le Centre d’action sociale protestant. Alors que ces associa
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