« Si la loi du 5 mars 2007 réformant la protection de l’enfance constitue une avancée significative, elle gagnerait à énoncer davantage les principes de doctrine sur lesquels elle s’appuie ou est censée s’appuyer. Il y a là en effet des choix de société, une certaine idée du rôle des parents, de la place de l’enfant, des droits et de la liberté des personnes. Il s’agit de conceptions d’ordre philosophique, éthique et sociologique qui mériteraient d’être explicitées plutôt que d’exister trop souvent “en creux”. Par exemple, décider que la protection d’un enfant en
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?