La réforme territoriale « doit être l’occasion d’une modernisation profonde d’une organisation qui a vieilli et qui n’est plus adaptée aux besoins des citoyens », plaide l’Uniopss (Union nationale interfédérale des œuvres et organismes privés non lucratifs sanitaires et sociaux) dans un document précisant sa position. Alors que le Sénat examine actuellement, en deuxième lecture, le projet de loi relatif à la délimitation des régions et que le projet de loi « portant nouvelle organisation territotriale de la République » (NOTR), sur les compétences des collectivités, sera examiné en décembre, l’Uniopss formule six principes « qui doivent animer les réformes ».
Premier d’entre eux, l’inscription des politiques sanitaire et sociale « dans la durée » doit permettre aux décideurs locaux « de faire une plus grande place à la prévention » et de considérer que la dépense sociale est « un investissement ». Autre nécessité : « placer le citoyen au centre des réformes » et le considérer non plus comme l’objet de l’action sociale, mais comme le « premier acteur de sa liberté ». Par ailleurs, afin d’« organise
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