En l’absence de réglementation officielle, la Fédération française de musicothérapie (FFM) tente de limiter les pratiques abusives en tenant à jour un registre national des musicothérapeutes(1) qui compte environ 200 professionnels – un peu plus d’un millier de musicothérapeutes formés seraient en activité aujourd’hui en France. Inspirée des préconisations de la Confédération européenne de musicothérapie à laquelle elle adhère, la fédération défend des critères stricts pour être inscrit sur le registre, en particulier en ce qui concerne la formation (avec, par exemple, un minimum requis d’heures de cours et de stage).
L’homologation est automatiquement accordée à ceux qui ont validé leur formation dans l’un des quatre centres agréés par la fédération, à savoir trois universités (Sorbonne Paris-Cité, Montpellier Paul-Valéry et Nantes) et l’Atelier de musicothérapie de Bourgogne. Parmi eux, seu
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