A l’issue d’une « large concertation » entreprise dès sa prise de fonction en juin 2013, la directrice de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) vient de diffuser à ses services déconcentrés une note fixant les grandes orientations et le programme de travail pour ce secteur. Pour Catherine Sultan, cette démarche était devenue nécessaire – la dernière note d’orientation datant de 1999 – au regard du durcissement des réponses législatives à la délinquance des mineurs et de la modification de sa structuration et de son organisation territoriale. En s’appuyant sur un diagnostic partagé et le rapport « Michel » rendu public en début d’année(1), elle a ainsi tenu à « réaffirmer dans ce contexte les principes de l’action éducative conduite dans le cadre judiciaire ». Des principes qui, selon elle, s’inscrivent en coh�
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