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L’action sociale facultative des communes souffre d’un manque de pilotage

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Qualifiée de « facultative » au sens où elle se distingue des aides légales notamment délivrées par les conseils généraux, l’action sociale mise en œuvre par les communes et les intercommunalités n’est « jamais très loin de l’obligatoire », note la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) dans une enquête menée auprès d’un échantillon de collectivités locales(1). Celle-ci met en évidence la grande diversité de formes et d’objectifs qu’elle revêt et, surtout, le manque de pilotage dont elle pâtit.

« Parfois très étendues dans un périmètre qui inclut – au-delà de l’aide sociale aux personnes en situation d’exclusion – les politiques en direction des personnes âgées, des enfants et des familles, des jeunes ou encore la politique de la ville, ces politiques sont parfois circonscrites et réduites au strict minimum », constate ainsi la DREES, en soulignant que la taille de la commune et les volontés politiques qui s’y expriment constituent « des éléments déterminants » en la matière.

Une implication qu’il revient aux centres communaux et intercommunaux d’action sociale

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