Les enfants handicapés qui partent en vacances en dehors de leur famille ou de leur établissement habituel peuvent bénéficier de l’infrastructure des centres de vacances pour mineurs. Les adultes handicapés n’ont pas cette chance : lorsqu’ils ne sont pas assez autonomes pour partir par leurs propres moyens et même s’ils bénéficient d’un accompagnement en matière de santé, de logement et de travail, ce temps particulier des vacances, hors du temps familial et du temps institutionnel, reste considéré pour eux comme secondaire. « Il n’y a pourtant pas de raison qu’au motif de l’âge les adultes soient empêchés de vivre ce temps indispensable dans la vie de tout un chacun », observe Jean-Louis Garcia, président de la Fédération des associations pour ad
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?