La réduction des risques (RdR) connaîtra-t-elle un second souffle ? Lui sera-t-il permis d’innover pour mieux répondre aux besoins émergents ? C’est ce qu’espèrent les acteurs engagés dans cette démarche vouée à diminuer les risques liés aux usages de produits psychoactifs et à prévenir les dommages sanitaires et sociaux. Celle-ci privilégie l’« aller vers » et la notion de bas seuil, accueillant les personnes « là où elles sont et là où elles en sont » pour les accompagner pas à pas, croit en les capacités d’agir des individus et vise leur autonomie. Fondée sur la tolérance, une telle philosophie d’intervention admet qu’il n’y a pas de sociétés sans drog
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