L’avenir des 1 850 centres va se jouer dans les mois qui viennent. Depuis plusieurs années, ils sont confrontés à un problème structurel de financement car leur mode de rémunération n’est pas adapté à leurs activités. L’assurance maladie rembourse leurs actes curatifs, comme elle le fait pour les médecins libéraux, mais ne finance pas les autres missions qui font leur spécificité : pratique du tiers-payant, mise en place du dossier unique et partagé permettant une prise en charge coordonnée par des professionnels de santé salariés, accompagnement des patients dans leurs démarches d’accès aux droits, portage d’action de santé publique, accueil de sta
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