« Pourquoi participer aux “états généraux du travail social” ? Et pourquoi – n’hésitons pas à le dire – souhaiter leur succès ? Ce sera le cas si l’on réussit à éviter, d’un côté, la grand-messe compassée et sans lendemain dont l’administration a le secret, de l’autre, le “happening”, et s’ils permettent, au-delà des incantations traditionnelles, un dialogue sur les vrais problèmes permettant de dessiner des orientations susceptibles d’être mises en œuvre rapidement.
Cette réussite est indispensable, et possible, malgré les ambiguïtés originelles de l’opération. Des ambiguïtés, il y en a beaucoup dès le départ :
→ la réduction au seul c
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?