Un collège d’usagers resserré, plus participatif, tels sont les principaux changements qui attendent les huit personnes en situation de précarité, appelées à siéger pour trois ans au Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (CNLE). Cette première véritable mandature du huitième collège tire les leçons du passé. En premier lieu, l’accent est mis sur la nécessaire implication des personnes dans un processus de participation citoyenne, afin de leur permettre de bénéficier tout au long de leur mandat de temps de rencontres et d’élaboration avec leurs pairs. Pour cela, l’appel à candidatures envoyé aux associations en janvier dernier a insisté sur leur nécessaire implication dans un collectif de personnes en situation de précarité, local ou national, fonctionnant comme « un espace d’échanges et d’émergence d’une parole collective ».
Le profil des membres est lui aussi affiné. Ceux-ci siègent au sei
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